Le regard international

Comme chaque année, les Assises des Déchets permettent d’ouvrir la réflexion et l’échange à l’international.

Découvrir la pratique innovante du « up-cycling* » pratiquée par la startup d’origine américaine TerraCycle, présente dans six pays européens (Belgique, Finlande, France, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède) : Atelier 2, Comment le high-tech revisite l’économie de la matière.

Ou encore prendre connaissance de l’expérience de la North London Waste Agency, l’agence territoriale déchets de sept quartiers de la capitale anglaise, qui pratique à la fois la gestion des déchets, la sensibilisation et la pédagogie en même temps que le pilotage d’études de fond, une approche mixte peu en vogue en France : Atelier 9, Biodéchets : agir de concert…

Voilà deux intervenants étrangers qui promettent de sortir des pratiques hexagonales et d’élargir la réflexion. Ce que ne manqueront pas de provoquer également les « speakers » de l’Union européenne, à commencer par Julius Langendorff, DG Environnement de la Commission européenne, Stéphane Arditi du Bureau Européen de l’Environnement, ou encore Maxime Pernal, de l’association bruxelloise CEWEP et Philippe Micheaux Naudet d’ACR+, l’association européenne des villes et régions pour le recyclage

 

* la transformation du déchet en un produit « plus noble » que celui d’origine