En ouverture des Assises : « Revenir aux fondamentaux, parce qu’il y a urgence à faire mieux »

Les premières prises de parole à l’ouverture des Assises des déchets ont donné le ton. Avec le président de l’association des Assises Thierry Meunier, c’est « l’urgence de faire mieux » qui a été posée en exigence partagée, avec une volonté affichée d’aller vers le concret, notamment en revenant aux fondamentaux que peuvent être les questions des comportements et de la fiabilité des modèles économiques.

« Une période charnière, marquée par les évolutions technologiques et la mobilisation des acteurs »

Partenaire historique des Assises nationales des déchets, Veolia est au plus près des enjeux sociétaux et technologiques de la filière. Rencontre avec Anne Le Guennec, directrice générale des activités Recyclage et Valorisation des déchets du groupe en France.

Emballages : une étude de Citeo incite l’industrie du luxe à l’économie circulaire

L’éco-organisme Citeo a réalisé une étude « shopper luxe ». L’enquête menée auprès de 500 consommateurs démontre que les Français accordent une importance grandissante aux emballages des produits de luxe et qu’une majorité serait prête à boycotter une marque si elle ne respecte pas l’environnement.

Enfouissement : comment ne pas aller dans le mur ?

L’atelier 9 des Assises des déchets promet d’être l’un des plus animés de l’événement. Le contexte est assez explosif, agité par la tourmente de la fermeture de la Chine à l’importation de certains déchets étrangers (rejointe par l’Inde et maintenant l’Indonésie), par la saturation des capacités de stockage et bien sûr par les ambitieux objectifs de réduction du stockage fixés par la loi.

Mobilisation : la communication à bout de souffle ?

Malgré des efforts incessants, notamment en matière de communication, il semble bien que la mobilisation des citoyens pour réduire et mieux gérer leurs déchets — moins produire et plus trier, consommer mieux… – plafonne. Alors, quelles actions, outils ou approches pour impliquer le plus grand nombre? Peut-être de nouvelles pistes originales doivent-elles être défrichées, ou au contraire faut-il ressortir du placard quelques solides pratiques de bon sens de nos grands-parents ?